
			Il faut noter, en particulier, deux tâches :
			- une tâche blanche oblongue sus et rétro oculaire, constante
			- une tâche en forme de selle, en arrière de la nageoire dorsale de 
			couleur grise, véritable carte d’identité de chaque animal.
			Elle est chez certains individus 
			légèrement asymétrique (Evans et al.,1982).
			Chez les jeunes immatures, les tâches claires ne sont pas d’un blanc 
			franc mais plutôt d’un ton orangé.
			Quelques rares cas d’albinisme (74 entre 1923 et 1959) ont été 
			signalés, notamment par Cousteau (1973) et Leatherwood et al. (1976).
Ces derniers décrivent 
			aussi des individus entièrement noirs (un spécimen aurait été observé en 1941).
			La coloration de l’orque contribue au camouflage de l’animal en 
			surface et en plongée.
			L’alternance de plages noires et blanches brise la silhouette 
			générale de l’animal.
			En plongée et en surface, la livrée dorsale 
			noire se confond avec la couleur sombre de l’eau, ce qui permet à 
			l’orque une approche au plus près de ses proies et donc un effet de 
			surprise en sa faveur .
			Il n’est pas rare de voir une orque 
			cicatriser blanc sur l’épiderme noir et vice versa.